Once upon a time in New York City.
Un chat abandonné va apprendre à survivre en ville, notamment en volant, parrainé par une bande de chiens experts en la matière. Oliver Twist version Disney.
Il y a d'abord un crayonné simple, une mise en couleur très "peinture à l'huile" - la technique n'en demeurant pas moins bluffante par moment-, puis la belle chanson de Huey Lewis et une musique qui swingue bien et, enfin, la belle morale disneyienne sur l'amitié et l'entraide, démontrant ainsi que les gens pauvres n'ont peut-être pas d'argent mais ils ont du cœur.
C'est mignon, l'histoire est subtilement remaniée, édulcorée d'une drôle de manière, excentrant le bad guy afin d'adoucir le groupe, mais certains passages me laissent de glace (la chienne bourgeoise) dans une partie très "La belle et le clochard" .
NOTE : 13-14 / 20